Concours CAMES

Mesdames et Messieurs les membres du Gouvernement,

Monsieur le Ministre de l'Enseignement Supérieur  de la République Congolaise,

Excellence Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et représentants des missions diplomatiques et consulaires,

Mesdames et messieurs les membres de l'ordre International des Palmes Académiques du CAMES,

Mesdames et messieurs les universitaires membres des jurys,

Mesdames et messieurs les recteurs et chefs d'Etablissements d'Enseignement Supérieur,

Mesdames et messieurs les candidats

Distingués invités, Mesdames et Messieurs.

L'organisation de ce concours d'Agrégation que le Gabon abrite, pour la troisième fois est pour le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, le Premier Ministre et tout le Gouvernement gabonais un motif de satisfaction puisque  nous souhaitons faire de notre pays une destination de prestation des services intellectuels de haut niveau.

C'est ce couple enseignement de qualité et recherche de haut niveau qui justifie la mutualisation de nos moyens humains et le besoin de garantir le bon niveau et l'objectivité de l'évaluation des connaissances acquises.

En regroupant sous  un même jury scientifique international, cent quatre vingt (180) candidats au Concours d'Agrégation, le CAMES se présente comme une plate forme unique en son genre, en Afrique, qui confère, en raison de la participation d'universitaires de renommé mondiale, une haute notoriété à la graduation postuniversitaire des pays membres de son réseau.

Ce modèle de mutualisation des ressources mérite d'être consolidé afin qu'un partenariat entre nos universités et celles du Nord inspire des dynamiques scientifiques porteuses.

Le Gabon s'inscrit dans cette logique et c'est le sens de l'engagement résolu du Président de la République, chef de l'Etat de garantir aux enseignants une formation et des opportunités d'évaluation qui les préparent à une production toujours plus compétitive.

Mesdames et Messieurs,

Dans un monde globalisé, qui fonctionne par espaces sous-régionaux complémentaires, les efforts fournis et projetés par notre pays en faveur de la formation et de la recherche, visent un renforcement du CAMES dont il faut souhaiter une attractivité au-delà des dix-neuf (19) Etats membres actuels. 

Pour l'heure, j'exhorte les vingt quatre (24) jurys, à privilégier la science et une appréciation rigoureuse des cent quatre vingt (180) candidats à qui je souhaite bonne chance.

JE VOUS REMERCIE